Publié dans un premier temps par la Série noire des années 50 à 70, Jim Thompson est une révélation pour les lecteurs français. Mais, à cette époque, les traductions manquent de fidélité et de respect pour l’auteur. Il faut que le texte rentre au chausse-pied, quitte à biffer certains paragraphes. En outre, le ton argotique est excessif et prend vite un sacré coup de vieux.